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Macron la fabrique de la peur

Macron la fabrique de la peur

 

Les médias français, en particulier les chaînes d’information en continu comme LCI et ses soi-disant journalistes indépendants et intègres, les plus méprisants propagandistes anti-Russie, jouent un rôle central dans la diffusion d’un récit anxiogène et simpliste autour de la guerre en Ukraine. Ce traitement médiatique, souvent accusé de servir des intérêts politiques et économiques, soulève des questions sur la manipulation de l’opinion publique et les motivations cachées derrière cette campagne de peur.

 

L'Ukraine entre propagande médiatique, ambitions politiques et responsabilités occultées.

Macron soldat en ukraine
Macron soldat en ukraine

Macron soldat en ukraine

En diffusant en boucle des images de conflits et en invitant tous les exilés Russes, les Ukrainiennes hystériques, les "experts" en expertises, spécialisés sur la Russie, en relations internationales soigneusement sélectionnés, tous ces généraux ou Colonels en retraite va-t-en guerre qui bavassent sur des hypothèses hypothétiques, qui ne sont jamais vérifiées par les événements, ces médias créent une narration univoque : l’Ukraine serait un bouclier sacrifié pour "défendre l’Europe" contre la menace russe. Ces experts, jamais contredits, puisque entre-soi, répètent à l’envi que les soldats ukrainiens meurent pour "nous protéger de l’ours russe", « versent leur sang pour nous » (!?), « l’Europe est attaquée ». Ces discours, martelés sans relâche, ne laisse aucune place au débat contradictoire. Les questions de fond sur les responsabilités historiques des Occidentaux dans le conflit sont évacuées, et les nuances sont sacrifiées sur l’autel de la simplicité médiatique.

 

Macron le stratège Napoléourien

Macron le stratège Napoléourien
Macron le stratège Napoléourien

Ukraine le grand mensonge

Derrière cette stratégie se cachent des enjeux multiples. D’abord, des raisons, pour LCI et chaînes concurrentes, d’audience : la peur et le sensationnalisme font vendre. Ensuite, des considérations financières : de nombreux médias français dépendent de subventions publiques, ce qui les place sous l’influence indirecte de l’État et encourage leur discours bien-pensant, dans le sens du vent. Dans ce contexte, la peur devient un outil politique. En effrayant les Français avec l’idée que la guerre est "à nos portes", ces médias contribuent à renforcer l’autorité du président Emmanuel Macron, dont la cote de popularité bénéficie de "l’effet drapeau" – ce réflexe de soutien au chef de l’État en temps de crise internationale. Triste citoyenneté mise à l’épreuve de l’anti-démocratie, car les décisions prises par le Président Français Macron, demanderaient à minima que le peuple soit consulté sur ce à quoi l’engage Le président Macron, désavoué par les urnes à plusieurs reprises et qui s’accroche au pouvoir de façon éhontée.

 

Macron l'autoritaire

Macron l'autoritaire
Macron l'autoritaire

Nous sommes en guerre !

Souvenons-nous de la période COVID pendant laquelle le président Macron nous disait « Nous sommes en guerre », déjà ! Preuve fut faite que la population pouvait être parfaitement infantilisée, manipulée et obéir aux injonctions du chef de l’état qui nous confinait, nous surveillait, nous obligeait ou interdisait strictement tout. Cela risque de se reproduire à l’aune d’une période dangereuse, volontairement aiguisée par Emmanuel Macron.

 

Mais l’ambition de Macron ne s’arrête pas là. En présentant la Russie comme une "menace existentielle pour l’Europe", il cherche à justifier un projet plus vaste : la fédéralisation de l’Europe. Ce discours alarmiste vise à fédérer les États européens autour d’une défense commune, première étape vers la création des "États-Unis d’Europe". Dans ce scénario, Macron se positionne comme le leader naturel de cette nouvelle entité, aspirant à en devenir le premier président.

 

Le Véritable Projet de Macron la présidence de l'UE

Le Véritable Projet de Macron la présidence de l'UE
Le Véritable Projet de Macron la présidence de l'UE

La Russie une menace existentielle pour l'UE

Pourtant, cette rhétorique repose sur des mensonges éhontés. Affirmer que la Russie est une menace existentielle pour l’Europe est une manipulation grossière. Les difficultés rencontrées par l’armée russe en Ukraine montrent que la Russie est loin d’être la puissance invincible que certains médias décrivent. De plus, cette narration ignore les avertissements répétés de Vladimir Poutine depuis plus de vingt ans : l’expansion de l’OTAN et le rapprochement des Occidentaux avec sa zone d’influence constituaient une ligne rouge. Les provocations mutuelles entre la Russie et l’Occident ont joué un rôle clé dans l’escalade du conflit, mais cette perspective est systématiquement occultée.

 

Il est essentiel de rappeler que la guerre en Ukraine n’aurait probablement pas eu lieu si l’Ukraine ne s’était pas tournée vers l’Europe et l’OTAN, une ligne rouge absolue pour la Russie depuis des décennies. En d’autres termes, sans ces démarches pour intégrer l’UE et l’OTAN, il est probable que le conflit actuel n’aurait pas éclaté. Cette réalité, pourtant cruciale, est rarement mentionnée dans les médias français, qui préfèrent simplifier la situation en opposant un "bien" occidental à un "mal" russe.

 

Macron manipulateur de génie machiavélique

Macron manipulateur de génie machiavélique
Macron manipulateur de génie machiavélique

Macron le pire pour la France

+ de 17% de pauvres en France sous son règne

Le traitement médiatique du conflit repose également sur des manipulations sémantiques. Les termes utilisés – "résistance", "défense de l’Europe", "menace russe" – sont choisis pour susciter l’émotion et justifier une posture guerrière. Les critiques envers des figures comme Poutine ou Trump sont systématiques et méprisantes, renforçant une vision manichéenne du monde. Cette approche empêche toute analyse nuancée et contribue à polariser l’opinion publique.

Enfin, il est impossible d’ignorer la responsabilité historique des Occidentaux dans ce qui se passe en Ukraine. Depuis la fin de la Guerre froide, les États-Unis et leurs alliés européens ont cherché à étendre leur influence dans les anciennes républiques soviétiques, sans tenir compte des avertissements de Moscou.

 

Cette guerre n’est pas la nôtre, l’Ukraine Européenne géographiquement, n’est pas dans l’UE, pas dans l’OTAN et nous n’avons aucun accord de défense avec elle.

Cette politique a alimenté les tensions et contribué à la crise actuelle. Quant à l’entrée de l’Ukraine dans l’UE, il serait démocratique de demander aux Européens par leur vote, leur accord ou pas, idem pour la Moldavie ou pire encore, la Géorgie.

 

Les médias français, en particulier ces chaînes d’information en continu, mais pas que, jouent un rôle ambigu dans la couverture de la guerre en Ukraine. Entre recherche d’audience, financements publics et alignement sur les objectifs politiques de l’État, leur traitement de l’actualité semble souvent servir des intérêts qui dépassent la simple information.

 

Dans ce contexte, il est essentiel que les citoyens restent vigilants, diversifient leurs sources et questionnent les récits dominants pour échapper à la propagande et comprendre les enjeux complexes de ce conflit. La guerre en Ukraine n’est pas seulement une tragédie lointaine : elle est aussi le reflet des erreurs et des ambitions d’un Occident qui refuse trop souvent de regarder ses propres responsabilités en face.

La guerre qui viendra, car elle viendra, avec les postures guerrières de Macron le ruineux président Français, qui ne sait plus comment endetter un peu plus les Français, cette guerre dans six mois ou dix ans, sera de sa responsabilité.

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